« Maladive solitude »
Cet inconsolable ennui qui ronge mon être
Mon soupir s'évapore dans l'air froid de novembre
Maladive solitude, tu es mon maître
Le silence règne dans ma morose chambre.
© Karolina Launay
Mon soupir s'évapore dans l'air froid de novembre
Maladive solitude, tu es mon maître
Le silence règne dans ma morose chambre.
© Karolina Launay
Novembre est le mois du Spleen par essence.
RépondreSupprimerEffectivement. Mais, pour une fois, j'ai écris un quatrain de spleen (que j'hésitais justement à nommer "spleen") sans être dans une crise ! Une simple inspiration m'est venue. Après, qui sait... il s'agit sûrement d'une manifestation du profond de même encore inconscient, et qui se manifestera physiquement d'ici quelques jours... L'humain n'est jamais à l'abri d'une crise de spleen inopinée... et surtout le poète.
SupprimerEt si le Spleen était un moyen — le meilleur — afin de rebondir en direction de l'Idéal ?
RépondreSupprimerC'est toujours ce que j'ai pensé.
Supprimer;-)
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