« Silence »

Dans la quiétude de la librairie,
Silence assourdissant, et mon esprit
Fait toujours ce même rêve obsédant
De voyage solitaire en Orient

C'est à ma chère amie Absinthe que je dois
Ces grands rires qui résonnent dans tout Paris
Lorsque je marche, ivre et jeune, à votre bras
Quand la lune belle et lascive nous sourit.

Mon sang coule sur une page blanche
Voilà donc le chaos et l'avalanche !
Une montagne de pensées me noie
Oh ! Beau désespoir, tu m'es si courtois !


© Karolina Launay

Commentaires

  1. "ivre et jeune, à votre bras..."
    Un petit côté Camille Claudel.

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    Réponses
    1. Je ne lis pas du tout du Claudel, donc pour le coup il s'agit d'une coïncidence ;)

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