« Mirage »
La douceur de la nuit révèle votre sourire
L'horloge s'est tue, et les flammes immobiles
Caressent ce visage qui me fait rougir
Bercé par l'odeur des bougies, indélébile.
L'horloge s'est tue, et les flammes immobiles
Caressent ce visage qui me fait rougir
Bercé par l'odeur des bougies, indélébile.
Mais en un instant, vous voilà évanoui
Mon âme de votre présence se languit
À jamais perdu dans ma mémoire flétrie
Quand reviendrez-vous, mirage de mon esprit ?
Mon âme de votre présence se languit
À jamais perdu dans ma mémoire flétrie
Quand reviendrez-vous, mirage de mon esprit ?
© Karolina Launay
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